Projet Cimetières

Cimetières parisiens

Les cimetières intra-muros

Cimetière d’Auteuil

Situé dans le 16e arrondissement de Paris, le cimetière d’Auteuil est officiellement inauguré en 1800, puis agrandi en 1843 et 1847. Il est rattaché à la ville de Paris en 1860 lors de l’absorption de la commune d’Auteuil. Les registres journaliers d’inhumation dans ce cimetière de 1860 à 1961 sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière des Batignolles

Ouvert le 22 août 1833, ce cimetière, qui couvre onze hectares, est l’un des plus grands cimetières de Paris intra-muros avec le Père-Lachaise et Montparnasse. De nombreuses célébrités y reposent, comme les poètes André Breton et Paul Verlaine, l’aviatrice Hélène Dutrieu ou encore le journaliste et directeur du journal Le Figaro Gaston Calmette. Les registres journaliers d’inhumations dans ce cimetière de 1833 à 1968 sont intégralement indexés sur Geneanet, ce qui représente plus de 130 000 personnes maintenant trouvables en quelques clics sur Geneanet !

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Cimetière de Belleville

Inauguré en 1804, le cimetière de l’ancienne petite commune de Belleville est rattaché à la ville de Paris en 1860 et accueille aujourd’hui 3 210 concessions. Ses registres journaliers d’inhumation de 1858 à 1965 sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière de Bercy Situé 12e arrondissement de Paris, dans le quartier de Picpus, ce cimetière accueille un peu plus de 1 000 tombes. Créé en 1816 sur l’ancienne commune de Bercy, il est, comme les cimetières d’Auteuil et de Belleville précédemment évoqués, intégré à la ville de Paris en 1860.

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Cimetière de Charonne

Situé dans le 20e arrondissement de Paris, le cimetière de Charonne accueille environ 650 tombes. Ses registres journaliers d’inhumations de 1855 à 1948 sont entièrement indexés sur Geneanet !

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Cimetière de Grenelle

Créé en 1835 après la séparation des anciennes communes de Grenelle et Vaugirard, ce cimetière se situe dans le 15e arrondissement de Paris. On y trouve notamment les sépultures des sculpteurs Rémondot (1867-1921) et Schmid (1872-1927) ou de l’historien et député Louis Madelin (1871-1956). Les registres journaliers d’inhumation dans ce cimetière de 1860 à 1954 sont en cours d’indexation.

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Cimetière de La Villette

Situé dans le 19e arrondissement de Paris, le cimetière de La Villette accueille 2 500 sépultures. Ses registres journaliers d’inhumations de 1860 à 1964 sont en cours d’indexation sur Geneanet, n’hésitez pas à participer.

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Cimetière de Montmartre

Inauguré le 1er janvier 1825, le cimetière se situe dans le 18e arrondissement de Paris, à l’emplacement des anciennes carrières de Montmartre. De très nombreuses célébrités y sont inhumées, comme Dalida, François Truffaut, Michel Berger et France Gall ou Michel Galabru. Les registres journaliers d’inhumation dans le cimetière de Montmartre de 1825 à 1968 sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière du Montparnasse

Situé dans le 14e arrondissement de Paris, il s’appelait à l’origine “cimetière du Sud”. Comme le cimetière de Montmartre, de très nombreuses célébrités reposent parmi les 35000 concessions qui s’y trouvent : Charles Baudelaire, Guy de Maupassant, Marguerite Duras, Serge Gainsbourg, Andrée Chedid, Mireille Darc… Les registres journaliers d’inhumation de 1824 à 1968 sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière de Passy

Ce petit cimetière du 16e arrondissement, surplombé par la tour Eiffel depuis la rive opposée de la Seine, a ouvert en 1820. Là encore, les sépultures de personnalités y sont nombreuses, comme celles de Claude Debussy, Berthe Morisot, Edgar Faure, Marcel et Serge Dassault… Ses registres journaliers d’inhumation sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière du Père Lachaise

Plus grand cimetière dans Paris intra-muros, le cimetière du Père Lachaise est mondialement connu et contient plusieurs monuments funéraires classés aux monuments historiques. S’étendant sur 44 hectares, on y rencontre également plus de 80 essences différentes d’arbres, dont 9 arbres remarquables, et de nombreuses espèces d’oiseaux. Ouvert le 21 mai 1804, il ne compte que 13 tombes la première année, contre 70 000 aujourd’hui ! On conserve ainsi plus de 1 700 registres journaliers d’inhumation pour ce cimetière de 1804 à 1968, à indexer sur Geneanet.

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Cimetière Saint-Vincent

Situé dans le quartier de Montmartre, le cimetière de Saint-Vincent, ouvert le 5 janvier 1831, compte près de 900 sépultures, dont celle du peintre Maurice Utrillo (1883-1955). Ses registres journaliers d’inhumation de 1831 à 1959 sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière de Vaugirard

Ouvert en 1787, c’est l’un des cimetières parisiens les plus anciens en activité. On y trouve la sépulture de Paul Doumer, président de la République, et un grand carré militaire où sont inhumés les pensionnaires des Invalides. Ses registres journaliers d’inhumation de 1852 à 1967 sont disponibles à l’indexation collaborative sur Geneanet.

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Les cimetières extra-muros

Cimetière parisien de Bagneux (92)

Situé sur la commune de Bagneux, dans les Hauts-de-Seine, ce cimetière dépend de la ville de Paris. Il est ouvert en même temps que le cimetière de Pantin, le 15 novembre 1886. S’étendant sur 61 hectares, le cimetière accueille plus de 83 000 concessions et des sections réservées aux israélites et aux soldats victimes des deux guerres mondiales. Plus de 1 200 registres journaliers d’inhumation couvrant la période allant de 1886 à 1968 sont consultables sur Geneanet et en cours d’indexation, une tâche d’ampleur à laquelle vous pouvez participer !

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Cimetière parisien de La Chapelle (93)

Ce cimetière ouvert en 1850 abrite plus de 3 300 concessions, dont quelques célébrités comme l’homme de cirque Achille Zavatta ou l’acteur et peintre Georges Dorival. Ses registres journaliers d’inhumation de 1867 à 1967 sont en cours d’indexation sur Geneanet.

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Cimetière parisien d’Ivry (94)

Constitué de deux enclos distinct de part et d’autre de la rue Paul-Andrieux à Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, le cimetière parisien d’Ivry compte 48 000 concessions réparties en 47 divisions. Un certain nombre de communards exécutés y furent inhumés en mai 1871, sans que l’on ne sache exactement combien, les estimations variant de 650 à 15 000 ! Le Parti communiste français (PCF) possède quant à lui un carré des fusillés, situé dans la 39e division, où sont enterrés des résistants et militants communistes exécutés durant la Seconde Guerre mondiale. Dans le cadre du projet Sauvons nos tombes, les carrés militaires français de 1914-1918 et 1939-1945 ont été photographiés, ainsi que les carrés Allemand, Italien, Anglais et musulman. Enfin, plus de 1 400 registres journaliers d’inhumation allant de 1861 à 1968 sont consultables sur Geneanet et disponibles dans l’outil d’indexation collaborative.

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Cimetière parisien de Pantin (93)

Le cimetière de Pantin est le plus grand cimetière de France en activité. Près de 200 000 sépultures y sont regroupées dans 180 divisions, et un million de personnes y ont été enterrées depuis sa création en 1886 ! Près de 1 700 registres journaliers d’inhumation allant de sa date de création à 1968 sont disponibles sur Geneanet. Dans le cadre du projet Sauvons nos tombes, découvrez également les sépultures des carrés militaires des soldats français, anglais et allemands de la Première Guerre mondiale, et un carré dédié aux victimes civiles.

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Cimetière parisien de Saint-Ouen (93)

Constitué de deux parties, l’une ouverte en 1860 et la seconde en 1872, le cimetière parisien de Saint-Ouen abrite les sépultures de quelques personnalités. On y trouve celle de l’écrivain Alphonse Allais, dont la tombe est pulvérisée lors d’un bombardement allié dans la nuit du 20 au 21 avril 1944, ou des peintres Suzanne Valadon et André Utter. Par ailleurs, un carré militaire rassemble les sépultures des Morts pour la France des deux guerres mondiales. Près de 1 200 registres journaliers d’inhumation dans ce cimetière de 1858 à 1968 sont à indexer sur Genanet.

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Cimetière parisien de Thiais (94)

Situé sur la commune de Thiais, dans le Val-de-Marne, il est ouvert en octobre 1929, ce qui en fait le plus récent des cimetières parisiens. Parfois surnommé “cimetière des pauvres”, ses 104e et 105e divisions abritent des concessions gratuites, où sont parfois inhumées les défunts dont les corps ne sont pas réclamés par les familles, comme lors de la canicule de 2003. Les registres journaliers d’inhumations dans ce cimetière de 1929 à 1968 sont intégralement indexés sur Geneanet, ce qui représente plus de 284 000 personnes trouvables en quelques clics sur Geneanet !

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