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Les '''fortifications de Vauban''' sont un ensemble de douze sites [[France|français]] inscrits sur la liste [[Patrimoine mondial|liste du patrimoine mondial]] de l’[[Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO]] depuis 2008. Le '''réseau des sites majeurs de Vauban''' est une association de villes créée le {{date|30|mars|2005|en France}} à l’initiative de la ville de [[Besançon]]. Il regroupe les douze sites les plus représentatifs du système de fortifications érigé par l’architecte militaire [[Sébastien Le Prestre de Vauban|Vauban]]. Son objectif est la mise en valeur et l’inscription de l’œuvre remarquable de Vauban sur la [[Patrimoine mondial|liste du patrimoine mondial]] de l’[[Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO]]. Le dossier de candidature a été retenu le |5|janvier|2007 par le [[Ministère de la Culture (France)|ministère de la Culture]] pour représenter la [[France]]<ref>[https://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-852690@51-852747,0.html Article du journal ''Le Monde'' du 6 janvier 2007].</ref>. Le |7|juillet 2008, douze des quatorze sites du réseau sont ajoutés à la liste lors de la réunion annuelle de l'UNESCO dans la ville de [[Québec (ville)|Québec]]<ref name="Monde 70708">[https://www.lemonde.fr/culture/article/2008/07/07/douze-fortifications-de-vauban-au-patrimoine-mondial-de-l-unesco_1067454_3246.html#ens_id=1067459 ''Douze fortifications de Vauban au patrimoine mondial de l'Unesco''] dans ''[[Le Monde]]'' du 7 juillet 2008.</ref><ref>[http://www.liberation.fr/actualite/societe/337529.FR.php ''Vauban, nouvel élu au patrimoine mondial de l'humanité''] dans ''[[Libération (journal)|Libération]]'' du 7 juillet 2008.</ref>.
=='''[https://www.geneactes.eu/index.php?/category/641 Les Fortifications]'''  ==
 
 
 
 
 
{{Infobox Patrimoine mondial
 
| Nom        = Fortifications de Vauban
 
| Image      = Plan citadelle Neuf Brisach.jpg
 
| Tailleimage =
 
| Légende    = Plan de la citadelle de [[Neuf-Brisach]] ({{s-|XVII}})
 
| Latitude    =
 
| Longitude  =
 
| Pays        = {{France}}
 
| Type        = Culturel
 
| Critères    = (i) (ii) (iv)
 
| Superficie  = 1 181,16 ha
 
| ID          = 1283
 
| Région      = 5
 
| Année      = 2008
 
| Extension  =
 
| Danger      =
 
| Carte      = Carte des sites majeurs de Vauban.svg
 
| Taillecarte = 265
 
| Note        = Carte des sites
 
| géolocalisation = non
 
}}
 
Les '''fortifications de Vauban''' sont un ensemble de douze sites [[France|français]] inscrits sur la liste [[Patrimoine mondial|liste du patrimoine mondial]] de l’[[Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO]] depuis 2008. Le '''réseau des sites majeurs de Vauban''' est une association de villes créée le {{date|30|mars|2005|en France}} à l’initiative de la ville de [[Besançon]]. Il regroupe les douze sites les plus représentatifs du système de fortifications érigé par l’architecte militaire [[Sébastien Le Prestre de Vauban|Vauban]]. Son objectif est la mise en valeur et l’inscription de l’œuvre remarquable de Vauban sur la [[Patrimoine mondial|liste du patrimoine mondial]] de l’[[Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO]]. Le dossier de candidature a été retenu le {{date-|5|janvier|2007}} par le [[Ministère de la Culture (France)|ministère de la Culture]] pour représenter la [[France]]<ref>[https://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-852690@51-852747,0.html Article du journal ''Le Monde'' du 6 janvier 2007].</ref>. Le {{date|7|juillet|2008}}, douze des quatorze sites du réseau sont ajoutés à la liste lors de la réunion annuelle de l'UNESCO dans la ville de [[Québec (ville)|Québec]]<ref name="Monde 70708">[https://www.lemonde.fr/culture/article/2008/07/07/douze-fortifications-de-vauban-au-patrimoine-mondial-de-l-unesco_1067454_3246.html#ens_id=1067459 ''Douze fortifications de Vauban au patrimoine mondial de l'Unesco''] dans ''[[Le Monde]]'' du 7 juillet 2008.</ref>{{,}}<ref>[http://www.liberation.fr/actualite/societe/337529.FR.php ''Vauban, nouvel élu au patrimoine mondial de l'humanité''] dans ''[[Libération (journal)|Libération]]'' du 7 juillet 2008.</ref>.
 
  
 
== Historique ==
 
== Historique ==
En 2003, la ville de [[Besançon]] étudie la possibilité d’une candidature au patrimoine mondial de l’UNESCO. Après avoir pris l’avis de spécialistes, il s’avère nécessaire de monter une candidature sous forme d’un réseau représentant l’ensemble du génie de [[Sébastien Le Prestre de Vauban|Vauban]] afin de répondre au mieux aux critères émis par l’UNESCO. Un premier cercle de huit sites se forme en 2005 puis une liste finale de quatorze sites, sur les {{nobr|150 fortifications}} laissées par Vauban<ref name="Monde 180708"/>, est finalement validée par un conseil scientifique le {{date-|31|mars|2006}}. En concurrence avec le dossier regroupant les sites de [[le Corbusier]] (chaque pays ne pouvant présenter qu’un seul dossier chaque année), le réseau Vauban est finalement retenu le {{date-|5|janvier|2007|en France}} par le [[Ministère de la Culture (France)|ministère de la Culture]] alors que débutent les célébrations du tricentenaire de la mort de l’architecte.
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En 2003, la ville de [[Besançon]] étudie la possibilité d’une candidature au patrimoine mondial de l’UNESCO. Après avoir pris l’avis de spécialistes, il s’avère nécessaire de monter une candidature sous forme d’un réseau représentant l’ensemble du génie de [[Sébastien Le Prestre de Vauban|Vauban]] afin de répondre au mieux aux critères émis par l’UNESCO. Un premier cercle de huit sites se forme en 2005 puis une liste finale de quatorze sites, sur les 150 fortifications laissées par Vauban<ref name="Monde 180708"/>, est finalement validée par un conseil scientifique le 31 mars 2006. En concurrence avec le dossier regroupant les sites de [[le Corbusier]] (chaque pays ne pouvant présenter qu’un seul dossier chaque année), le réseau Vauban est finalement retenu le 5 janvier 2007 en France par le [[Ministère de la Culture (France)|ministère de la Culture]] alors que débutent les célébrations du tricentenaire de la mort de l’architecte.
  
Le {{date-|7|juillet|2008|en France}}, douze des quatorze sites du réseau sont admis sur la liste finale du [[patrimoine mondial]]. Les sites du [[château de Bazoches]] dans la Nièvre et le fort transformé en citadelle du [[Le Palais|Palais]] à [[Belle-Île-en-Mer]] dans le Morbihan sont exclus de l'inscription<ref name="Monde 70708"/>. La [[citadelle de Belle-Île-en-Mer]] a été écartée par l'UNESCO pour « manque d'authenticité » notamment en raison d'un projet hôtelier en son sein et le château de Bazoches pour ne pas être une fortification<ref name="Monde 180708">[https://www.lemonde.fr/culture/article/2008/07/18/deux-sites-vauban-ont-ils-ete-ecartes-du-label-unesco-pour-leur-gestion-privee_1074924_3246.html#ens_id=1074096 ''Deux sites Vauban ont-ils été écartés du label Unesco pour leur gestion privée ?''] dans ''[[Le Monde]]'' du 18 juillet 2008.</ref>. Bien que cela ait suscité des interrogations, le fait que ces deux sites soient des propriétés privées n'aurait pas joué dans cette décision.
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Le 7 juillet 2008 en France, douze des quatorze sites du réseau sont admis sur la liste finale du [[patrimoine mondial]]. Les sites du [[château de Bazoches]] dans la Nièvre et le fort transformé en citadelle du [[Le Palais|Palais]] à [[Belle-Île-en-Mer]] dans le Morbihan sont exclus de l'inscription<ref name="Monde 70708"/>. La [[citadelle de Belle-Île-en-Mer]] a été écartée par l'UNESCO pour « manque d'authenticité » notamment en raison d'un projet hôtelier en son sein et le château de Bazoches pour ne pas être une fortification<ref name="Monde 180708">[https://www.lemonde.fr/culture/article/2008/07/18/deux-sites-vauban-ont-ils-ete-ecartes-du-label-unesco-pour-leur-gestion-privee_1074924_3246.html#ens_id=1074096 ''Deux sites Vauban ont-ils été écartés du label Unesco pour leur gestion privée ?''] dans ''[[Le Monde]]'' du 18 juillet 2008.</ref>. Bien que cela ait suscité des interrogations, le fait que ces deux sites soient des propriétés privées n'aurait pas joué dans cette décision.
  
 
== Choix des sites ==
 
== Choix des sites ==
L’œuvre de Vauban est tellement monumentale {{incise|il a conçu et suivi la réalisation de plus de {{nobr|150 places}} fortes ainsi que de vastes ouvrages civils en France}} que seule une série de sites permet d’en illustrer toutes les facettes. Celle-ci, identifiée à partir d’une analyse scientifique, croise plusieurs critères typologiques.
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L’œuvre de Vauban est tellement monumentale il a conçu et suivi la réalisation de plus de 150 places fortes ainsi que de vastes ouvrages civils en France}} que seule une série de sites permet d’en illustrer toutes les facettes. Celle-ci, identifiée à partir d’une analyse scientifique, croise plusieurs critères typologiques.
 
Ainsi, la série des douze sites réunit les plus beaux exemples selon la typologie suivante :
 
Ainsi, la série des douze sites réunit les plus beaux exemples selon la typologie suivante :
 
   
 
   
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# [[Villefranche-de-Conflent]] ([[Pyrénées-Orientales]]), l’enceinte, le [[fort Libéria]] et la grotte dite « Cova Bastera ».
 
# [[Villefranche-de-Conflent]] ([[Pyrénées-Orientales]]), l’enceinte, le [[fort Libéria]] et la grotte dite « Cova Bastera ».
  
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== Notes et références ==
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Saint-Martin de Re fosse.jpg|La porte des Campani (Saint-Martin-de-Ré - Île de Ré).
 
Briancon 44.JPG|La porte d'Embrun et les enceintes de la ville de Briançon.
 
20100712 Tour Vauban - 3.jpg|La Tour-Dorée de Camaret-sur-Mer.
 
</gallery>
 
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Mont-Louis vue aérienne.jpg|Mont-Louis.
 
Montdauphin002.jpg|Place forte de Mont-Dauphin.
 
Porte de France en automne.jpg|La ville neuve de Longwy.
 
Fort Vauban de l'ile TATIHOU Cotentin.jpg|Le fort de l'île de Tatihou.
 
</gallery>
 
  
== Notes et références ==
 
{{Références|taille=40}}
 
  
== Voir aussi ==
 
{{Autres projets|commons=Category:Fortifications of Vauban (World Heritage Sites)|commons titre=Fortifications de Vauban}}
 
  
 
=== Articles connexes ===
 
=== Articles connexes ===
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== Citadelles (et réduits) créés ==
 
== Citadelles (et réduits) créés ==
* [[1667]]-[[1671]] [[citadelle de Lille]]/>, baptisée par Vauban lui-même la « Reine des citadelles » et son réduit (fort St Sauveur).
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* [[1667]]-[[1671]] [[citadelle de Lille]], baptisée par Vauban lui-même la « Reine des citadelles » et son réduit (fort St Sauveur).
 
* [[1667]]-[[1672]] '''[[citadelle d'Arras]]''' Sur les plans de Vauban, la citadelle fut surnommée " la belle inutile", la ville n’ayant plus connu de siège après sa construction.
 
* [[1667]]-[[1672]] '''[[citadelle d'Arras]]''' Sur les plans de Vauban, la citadelle fut surnommée " la belle inutile", la ville n’ayant plus connu de siège après sa construction.
 
* 1680-1684, '''[[citadelle de Besançon|réduit de Besançon]]''' ('''[[fort Griffon]])'''.
 
* 1680-1684, '''[[citadelle de Besançon|réduit de Besançon]]''' ('''[[fort Griffon]])'''.
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* 1721-1732, [[forteresse de Louisbourg]] sur projet de Vauban  (Canada).
 
* 1721-1732, [[forteresse de Louisbourg]] sur projet de Vauban  (Canada).
  
'''== Citadelles remaniées ou complétées =='''
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== Citadelles remaniées ou complétées ==
 
* [[1674]]-[[1687]], '''[[citadelle de Besançon]]'''
 
* [[1674]]-[[1687]], '''[[citadelle de Besançon]]'''
 
* [[1674]]-[[1689]], [[citadelle de Belle-Île-en-Mer|citadelle du Palais à Belle-Île-en-Mer]]
 
* [[1674]]-[[1689]], [[citadelle de Belle-Île-en-Mer|citadelle du Palais à Belle-Île-en-Mer]]
* [[1680]], [[citadelle de Bayonne]]<ref>{{Base Mérimée|PA00084333|Citadelle de Bayonne}}</ref> {{Inscrit MH|1929}}
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* [[1680]], [[citadelle de Bayonne]] Inscrit MH 1929
 
* [[1683]] à [[1697]], [[citadelle de Bitche]]
 
* [[1683]] à [[1697]], [[citadelle de Bitche]]
 
* [[1689]], '''[[citadelle de Blaye]]'''
 
* [[1689]], '''[[citadelle de Blaye]]'''
Ligne 135 : Ligne 95 :
 
* citadelles de [[Casale Monferrato|Casale]], [[Verceil]] et [[Pignerol]] (Italie)
 
* citadelles de [[Casale Monferrato|Casale]], [[Verceil]] et [[Pignerol]] (Italie)
 
* [[Fort Carré]] (France, Antibes)
 
* [[Fort Carré]] (France, Antibes)
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== Notes ==

Version actuelle datée du 13 mars 2019 à 20:08

Les fortifications de Vauban sont un ensemble de douze sites français inscrits sur la liste liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2008. Le réseau des sites majeurs de Vauban est une association de villes créée le 1943 à l’initiative de la ville de Besançon. Il regroupe les douze sites les plus représentatifs du système de fortifications érigé par l’architecte militaire Vauban. Son objectif est la mise en valeur et l’inscription de l’œuvre remarquable de Vauban sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Le dossier de candidature a été retenu le |5|janvier|2007 par le ministère de la Culture pour représenter la France[1]. Le |7|juillet 2008, douze des quatorze sites du réseau sont ajoutés à la liste lors de la réunion annuelle de l'UNESCO dans la ville de Québec[2][3].

Historique

En 2003, la ville de Besançon étudie la possibilité d’une candidature au patrimoine mondial de l’UNESCO. Après avoir pris l’avis de spécialistes, il s’avère nécessaire de monter une candidature sous forme d’un réseau représentant l’ensemble du génie de Vauban afin de répondre au mieux aux critères émis par l’UNESCO. Un premier cercle de huit sites se forme en 2005 puis une liste finale de quatorze sites, sur les 150 fortifications laissées par Vauban[4], est finalement validée par un conseil scientifique le 31 mars 2006. En concurrence avec le dossier regroupant les sites de le Corbusier (chaque pays ne pouvant présenter qu’un seul dossier chaque année), le réseau Vauban est finalement retenu le 5 janvier 2007 en France par le ministère de la Culture alors que débutent les célébrations du tricentenaire de la mort de l’architecte.

Le 7 juillet 2008 en France, douze des quatorze sites du réseau sont admis sur la liste finale du patrimoine mondial. Les sites du château de Bazoches dans la Nièvre et le fort transformé en citadelle du Palais à Belle-Île-en-Mer dans le Morbihan sont exclus de l'inscription[2]. La citadelle de Belle-Île-en-Mer a été écartée par l'UNESCO pour « manque d'authenticité » notamment en raison d'un projet hôtelier en son sein et le château de Bazoches pour ne pas être une fortification[4]. Bien que cela ait suscité des interrogations, le fait que ces deux sites soient des propriétés privées n'aurait pas joué dans cette décision.

Choix des sites

L’œuvre de Vauban est tellement monumentale il a conçu et suivi la réalisation de plus de 150 places fortes ainsi que de vastes ouvrages civils en France}} que seule une série de sites permet d’en illustrer toutes les facettes. Celle-ci, identifiée à partir d’une analyse scientifique, croise plusieurs critères typologiques. Ainsi, la série des douze sites réunit les plus beaux exemples selon la typologie suivante :

  • l’évolution des conceptions défensives de Vauban, organisées après lui en premier, deuxième et troisième système ;
  • une déclinaison géographique complète (sites de plaine, de bord de mer et de montagne) ;
  • le type d’ouvrage (fort, enceinte urbaine ou citadelle) ;
  • l'adaptation des fortifications existantes et la création ex nihilo.

Les sites ont également été sélectionnés sur un critère d’authenticité et de conservation. Ils ont tous été réalisés du vivant ou selon les projets de Vauban. Ils n’ont pas connu d’évolution majeure depuis : ils sont ainsi toujours perceptibles dans l’état voulu par l’ingénieur. Enfin, la qualité paysagère a été explicitement intégrée comme critère de sélection : la majorité des sites se situe dans un cadre naturel et paysager exceptionnel de par leur diversité géographique (bord de mer, plaine, montagne).

Liste des sites

Les douze sites de cette série sont, par ordre alphabétique :

  1. Arras (Pas-de-Calais), la citadelle ;
  2. Besançon (Doubs), la citadelle, l’enceinte urbaine et le fort Griffon ;
  3. Blaye-Cussac-Fort-Médoc (Gironde), la citadelle de Blaye, l'enceinte urbaine, le fort Paté et le fort Médoc ;
  4. Briançon (Hautes-Alpes), l’enceinte urbaine, la redoute des Salettes, le fort des Trois-Têtes, le fort du Randouillet, l’ouvrage de la communication Y et le pont d’Asfeld ;
  5. Camaret-sur-Mer (Finistère), la tour dorée ;
  6. Longwy (Meurthe-et-Moselle), la ville neuve de Longwy ;
  7. Mont-Dauphin (Hautes-Alpes), la place forte ;
  8. Mont-Louis (Pyrénées-Orientales), la citadelle et l’enceinte ;
  9. Neuf-Brisach (Haut-Rhin), la ville neuve ;
  10. Saint-Martin-de-Ré (Charente-Maritime), l’enceinte et la citadelle ;
  11. Saint-Vaast-la-Hougue/Île Tatihou (Manche), les tours observatoires ;
  12. Villefranche-de-Conflent (Pyrénées-Orientales), l’enceinte, le fort Libéria et la grotte dite « Cova Bastera ».

Notes et références

Articles connexes

Liens externes


Citadelles (et réduits) créés

Citadelles remaniées ou complétées

Notes