Cimetière de Evere : Différence entre versions

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Commune d’Evere
 
Commune d’Evere
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Le cimetière d’Evere, le plus grand de la Région de Bruxelles-Capitale, est une source inépuisable de promenades. Grâce à ses allures de parc, il est fréquenté en arrière-saison par les amateurs de randonnées. Véritable havre de paix, il abrite des arbres remarquables ainsi qu’une faune diversifiée.
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De part et d'autre des larges avenues du cimetière, découvrez de majestueuses tombes de différents styles ; Art nouveau, Art Déco ... Celles-ci s’avoisinent avec des monuments dédiés aux événements comme la bataille de Waterloo ou la Révolution belge. Sur ces chemins, les marcheurs, curieux, cherchent les sépultures où reposent certaines personnalités. Parmi celles-ci, François van Campenhout, le compositeur de la Brabançonne (hymne national belge), ou encore Charles de Brouckère, le bourgmestre qui a donné son nom à la célèbre place du centre de Bruxelles.
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Histoire
 
Histoire
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La seigneurie d’Evere est mentionnée dans des sources écrites à partir du XIIe siècle. Aux XVIIe et XVIIIe siècles (jusqu’en 1772), elle était en mains de la famille Horne qui résidait au château IJse à Overijse, tandis que l’administration était gérée par un  bailli. Evere est devenue une commune autonome à l’époque française.
 
La seigneurie d’Evere est mentionnée dans des sources écrites à partir du XIIe siècle. Aux XVIIe et XVIIIe siècles (jusqu’en 1772), elle était en mains de la famille Horne qui résidait au château IJse à Overijse, tandis que l’administration était gérée par un  bailli. Evere est devenue une commune autonome à l’époque française.
  
 
De 163 habitants au début du XVIIIe siècle, la population est passée à 800 vers 1800, 1377 en 1846, 6031 vers 1900 et 22.460 en 1961. Entre 1750 et le début du XXe siècle, Le village vivait surtout de l’agriculture, et notamment de la culture maraîchère (chicons). Il a gardé pendant longtemps un caractère néerlandophone.
 
De 163 habitants au début du XVIIIe siècle, la population est passée à 800 vers 1800, 1377 en 1846, 6031 vers 1900 et 22.460 en 1961. Entre 1750 et le début du XXe siècle, Le village vivait surtout de l’agriculture, et notamment de la culture maraîchère (chicons). Il a gardé pendant longtemps un caractère néerlandophone.

Version actuelle datée du 16 février 2022 à 09:00

Commune d’Evere Le cimetière d’Evere, le plus grand de la Région de Bruxelles-Capitale, est une source inépuisable de promenades. Grâce à ses allures de parc, il est fréquenté en arrière-saison par les amateurs de randonnées. Véritable havre de paix, il abrite des arbres remarquables ainsi qu’une faune diversifiée.

De part et d'autre des larges avenues du cimetière, découvrez de majestueuses tombes de différents styles ; Art nouveau, Art Déco ... Celles-ci s’avoisinent avec des monuments dédiés aux événements comme la bataille de Waterloo ou la Révolution belge. Sur ces chemins, les marcheurs, curieux, cherchent les sépultures où reposent certaines personnalités. Parmi celles-ci, François van Campenhout, le compositeur de la Brabançonne (hymne national belge), ou encore Charles de Brouckère, le bourgmestre qui a donné son nom à la célèbre place du centre de Bruxelles.

Histoire

La seigneurie d’Evere est mentionnée dans des sources écrites à partir du XIIe siècle. Aux XVIIe et XVIIIe siècles (jusqu’en 1772), elle était en mains de la famille Horne qui résidait au château IJse à Overijse, tandis que l’administration était gérée par un bailli. Evere est devenue une commune autonome à l’époque française.

De 163 habitants au début du XVIIIe siècle, la population est passée à 800 vers 1800, 1377 en 1846, 6031 vers 1900 et 22.460 en 1961. Entre 1750 et le début du XXe siècle, Le village vivait surtout de l’agriculture, et notamment de la culture maraîchère (chicons). Il a gardé pendant longtemps un caractère néerlandophone.